Aujourd’hui c’est avec beaucoup d’émotions que je vous présente mon tout premier appareil photo à moi, le Nikon Zoom 100AF ! Alors attention, je risque de ne pas être très objective.
Un peu d’histoire
C’était un matin de Noël, un paquet était sous le sapin à m’attendre. Je l’ouvre et je découvre ce magnifique appareil compact… Attendez, ce n’est pas ce type d’histoires que vous attendiez ? D’accord, je reprends.
Je n’ai pas beaucoup d’informations concernant ce compact mis à part qu’il est sorti en 1993. Donc si vous avez quelques infos sur son histoire, je preneuse.
En détail
- Origine : Chine
- Date de production : 1993
- Corps : plastique
- Format de film : 135
- Format des prises de vue : 24×36
- Objectif : zoom 35-70 mm macro
- Mise au point : automatique
- Sensibilité : code DX
- Viseur : télémétrique
- Cellule : intégrée
- Flash : intégré
- Filetages pour trépied (vertical sous le corps)
- Livré avec un adaptateur pour paysage
- Prix moyen constaté : entre 5 et 10 euros
Prise en main
La prise en main de l’appareil est très simple. On charge et on shoote.
D’un point de vue esthétique, comme vous pouvez le voir, on est là aussi sur quelque chose de très simple avec un bloc noir de plastique. Avec le temps, ce n’est pas mon genre, mais à l’époque, j’avais un appareil de grands !
Le viseur est extrêmement petit et manque clairement de clarté. Pour l’utilisation familiale pour laquelle l’appareil était destiné, c’est suffisant mais si vous avez un projet un peu plus artistique, passez votre chemin !
Le moteur du boitier est très bruyant, donc pour la discrétion aussi on repassera. L’objectif est tout plastique et présente un gros vignettage avec les focales les plus courtes. Enfin, avec le temps, mon exemplaire ne déclenche plus lorsque le zoom est sorti. Dommage donc pour la fonction zoom, qui pourtant fonctionnait il y a plus de vingt ans.
Verdict
Mon cœur d’enfant ne peut que vous dire que c’est le meilleur appareil du monde et qu’il fait de très belles photos de nuages (oui chacun ses lubies) !
Mais malheureusement, mon esprit d’adulte vous dit de passer votre chemin, sauf si vous êtes un collectionneur invétéré.